9,40 € – Gallimard
Un livre sur l’économie des sociétés primitives. En gros, l’auteur explique que les sociétés primitives et notamment les chasseurs cueilleurs n’étaient pas des sociétés où tout le monde mourrait de faim et où il fallait rechercher de la nourriture 24/24 pour survivre. Au contraire, c’étaient d’après lui des sociétés où les individus travaillaient peu et s’occupaient rarement de l’avenir. Et d’écrire ainsi : « la quantité de travail (par personne) croît avec l’évolution cependant que décroit corrélativement la quantité de loisirs« . Et alors, elle est où l’évolution ? Ou bien « l’importance de la faim croît relativement et absolument avec le progrès culturel« . Le progrès, c’est quoi ? Il tire ces conclusions de l’analyse des études qui ont été menées sur la vie des peuples primitifs au cours des siècles. De quoi se poser plein de questions intéressantes !
Romain