Décidément, ce Lionel Salaün est étonnant. Il nous transporte aux Etats-Unis, pays où il n’a jamais mis les pieds, à une époque qui n’est pas la sienne. Et on y croit, on abhorre la noirceur de ces pays du Sud : racistes, pauvres et bouseux. Le salut viendra d’ailleurs. Ou pas.
Bénédicte